
Chefs-d'oeuvre en miniature
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C’est une œuvre majeure de la poésie moderne, située au carrefour du romantisme et du symbolisme. Les poèmes de Baudelaire rompent avec le « style convenu » de la poésie classique et de nombreuses formules ont une forte dimension expressive et visuelle.
Hamlet: Une des pièces de théâtre les plus célèbres du Shakespeare. Elle raconte l'histoire du prince Hamlet, visité par le fantôme de son père assassiné et chargé de venger sa mort.
Notre-Dame de Paris I: Cette histoire de la passion déchirante d’un père et son fils pour une jeune bohémienne du nom d’Esméralda c’est l’un des plus grands chefs d’œuvre de Victor Hugo, le chef de file de la nouvelle littérature
Notre-Dame de Paris II: Cette histoire de la passion déchirante d’un père et son fils pour une jeune bohémienne du nom d’Esméralda c’est l’un des plus grands chefs d’œuvre de Victor Hugo, le chef de file de la nouvelle littérature.
LE PROLOGUE
Après les glorieuses fatigues, et les exploits victorieux de notre auguste monarque ; il est bien juste que tous ceux qui se mêlent d’écrire, travaillent ou à ses louanges, ou à son diver- tissement. C’est ce qu’ici l’on a voulu faire, et ce prologue est un essai des louanges de ce grand prince, qui donne entrée à la comédie du Ma- lade imaginaire, dont le projet a été fait pour le délasser de ses nobles travaux.
La décoration représente un lieu champêtre, et néanmoins fort agréable.
La scène est à Paris.
CHAPITRE PREMIER
COMMENT CANDIDE FUT ÉLEVÉ DANS UN BEAU CHÂTEAU, ET COMMENT IL FUT CHASSÉ D’ICELUI
Il y avait en Westphalie, dans le château de M. le baron de Thunder−ten−tronckh, un jeune garçon à qui la nature avait don- né les moeurs les plus douces. Sa physionomie annonçait son âme.
LA CIGALE ET LA FOURMI
La Cigale, ayant chanté
Tout l’été,
Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue :
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu’à la saison nouvelle
« Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l’août, foi d’animal, Intérêt et principal. »
La Fourmi n’est pas prêteuse ; C’est là son moindre défaut.
8mai. — Quelle journée admirable ! J’ai passé toute la matinée étendu sur l’herbe, devant ma maison, sous l’énorme platane qui la couvre, l’abrite et l’ombrage tout entière. J’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui-même.
CHAPITRE 1
DANS LEQUEL PHILEAS FOGG ET PASSEPARTOUT S’ACCEPTENT RÉCIPROQUEMENT, L’UN COMME MAÎTRE, L’AUTRE COMME DOMESTIQUE
En l’année 1872, la maison portant le numéro 7 de Saville-row, Burlington Gardens — maison dans laquelle Sheridan mourut en 1814 —, était habitée par Phileas Fogg, esq., l’un des membres les plus singu- liers et les plus remarqués du Reform-Club de Londres, bien qu’il semblât prendre à tâche de ne rien faire qui pût attirer l’attention.
À Maria.
Que votre nom, vous dont le portrait est le plus bel ornement de cet ouvrage, soit ici comme une branche de buis bénit, prise on ne sait à quel arbre, mais certainement sanctifiée par la religion et renouvelée, toujours verte, par des mains pieuses, pour protéger la maison.
De Balzac
COMBIEN IL Y A DE SORTES DE PRINCIPAUTÉS, ET PAR QUELS MOYENS ON PEUT LES ACQUÉRIR.
Tous les États, toutes les dominations qui ont tenu et tiennent encore les hommes sous leur empire, ont été et sont ou des républiques ou des principautés.
Les principautés sont ou héréditaires ou nouvelles.
Les héréditaires sont celles qui ont été longtemps possédées par la famille de leur prince.
CHAPITRE I
Pendant un demi-siècle, les bourgeoises de Pont-l’Évêque envièrent à Mme Aubain sa servante Félicité.
Pour cent francs par an, elle faisait la cuisine et le ménage, cousait, lavait, repassait, savait brider un cheval, engraisser les volailles, battre le beurre, et resta fidèle à sa maîtresse, — qui cependant n’était pas une personne agréable.
LE CORBEAU
« Une fois, sur le minuit lugubre, pendant que je méditais, faible et fatigué, sur maint précieux et curieux volume d’une doctrine oubliée, pendant que je donnais de la tête, presque assoupi, soudain il se fit un tapotement, comme de quelqu’un frappant doucement, frappant à la porte de ma chambre. « C’est quelque visiteur, — murmurai-je, — qui frappe à la porte de ma chambre ; ce n’est que cela, et rien de plus. »
PRÉFACE DE LA DEUXIÈME ÉDITION
J’avais naïvement cru que ce roman pouvait se passer de préface. Ayant l’habitu- de de dire tout haut ma pensée, d’appuyer même sur les moindres détails de ce que j’écris, j’espérais être compris et jugé sans explication préalable. Il paraît que je me suis trompé.
CHAPITRE I
LE VIEUX LOUP DE MER DE L’AMIR AL BENBOW
C’est sur les instances de M. le chevalier Trelawney, du docteur Livesey et de tous ces messieurs en général, que je me suis décidé à mettre par écrit tout ce que je sais concernant l’île au trésor, depuis À jusqu’à Z, sans rien excepter que la position de l’île, et cela uniquement parce qu’il s’y trouve toujours une partie du trésor. Je prends donc la plume en cet an de grâce 17..., et commence mon récit à l’époque où mon père tenait l’auberge de l’ Amiral Benbow, en ce jour où le vieux marin, au visage basané et balafré d’un coup de sabre, vint prendre gîte sous notre toit.
PRÉFACE
Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité hu- maine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans de certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles.
Victor Hugo Hauteville-House, 1862.
PRÉFACE
Érasme de Rotterdam à son cher Thomas More. Salut !
Dernièrement, comme je revenais d’Italie en Angleterre, voulant éviter que toutes ces heures où je serais forcément à cheval soient gaspillées en papotages sans rapport avec les Muses et les belles-lettres, j’ai préféré cogiter quelque peu en moi-même sur des questions touchant à nos études communes, ou me faire plaisir en évoquant les amis laissés ici, non moins savants que délicieux.
Le Chœur
Deux familles, égales en noblesse, Dans la belle Vérone, où nous
plaçons notre scène,
Sont entraînées par d’anciennes
rancunes à des rixes nouvelles Où le sang des citoyens souille les
mains des citoyens.
Des entrailles prédestinées de ces
deux ennemies
Un artiste est un créateur de belles choses.
Révéler l’Art en cachant l’artiste, tel est le but de l’Art.
Le critique est celui qui peut traduire dans une autre manière ou avec de nou- veaux procédés l’impression que lui lais- sèrent de belles choses.
L’autobiographie est à la fois la plus haute et la plus basse des formes de la critique.
Mon avis est qu’on ne peut créer des personnages que lorsque l’on a beaucoup étudié les hommes, comme on ne peut parler une langue qu’à la condition de l’avoir sérieusement apprise. N’ayant pas encore l’âge où l’on invente, je me contente de raconter. J’engage donc le lecteur à être convaincu de la réalité de cette histoire, dont tous les personnages, à l’exception de l’héroïne, vivent encore.
Mrs Dalloway dit qu’elle irait acheter les fleurs elle-même. Lucy avait de l’ouvrage par-dessus la tête. On enlèverait les portes de leurs gonds ; les hommes de Rumpelmayer allaient venir. « Quel matin frais ! pensait Clarissa Dalloway. On dirait qu’on l’a commandé pour des enfants sur une plage. »
En se réveillant un matin après des rêves agités, Gregor Samsa se retrouva, dans son lit, métamorphosé en un monstrueux insecte. Il était sur le dos, un dos aussi dur qu’une carapace, et, en relevant un peu la tête, il vit, bombé, brun, cloisonné par des arceaux plus rigides, son abdomen sur le haut duquel la couverture, prête à glisser tout à fait, ne tenait plus qu’à peine. Ses nombreuses pattes, lamentablement grêles par comparaison avec la corpulence qu’il avait par ailleurs, grouillaient désespérément sous ses yeux.
SCÈNE PREMIÈRE
Chimène, Elvire
CHIMÈNE
Elvire, m’as-tu fait un rapport bien sincère ?
Ne déguises-tu rien de ce qu’a dit mon père ?
ELVIRE
Tous mes sens à moi-même en sont encor charmés :
Il estime Rodrigue autant que vous l’aimez,
Et, si je ne m’abuse, à lire dans son âme,
Il vous commandera de répondre à sa flamme.
L’Explorateur du Temps (car c’est ainsi que pour plus de commodité nous l’appellerons) nous exposait un mystérieux problème. Ses yeux gris et vifs étincelaient, et son visage, habituellement pâle, était rouge et animé. Dans la cheminée la flamme brûlait joyeusement et la lumière douce des lampes à incandescence, en forme de lis d’argent, se reflétait dans les bulles qui montaient brillantes dans nos verres.
Le 20 août 1672, la ville de la Haye, si vivante, si blanche, si coquette que l’on dirait que tous les jours sont des dimanches, la ville de la Haye, avec son parc ombreux, avec ses grands arbres inclinés sur ses maisons gothiques, avec les larges miroirs de ses canaux dans lesquels se reflètent ses clochers aux coupoles presque orientales, la ville de la Haye, la capitale des sept Provinces-Unies, gonflait toutes ses artères d’un flot noir et rouge de citoyens pressés, haletants, inquiets, lesquels couraient, le couteau à la ceinture, le mousquet sur l’épaule ou le bâton à la main, vers le Buitenhof, formidable prison dont on montre encore aujourd’hui les fenêtres grillées et où, depuis l’accusation d’assassinat portée contre lui par le chirurgien Tyckelaer, languissait Corneille de Witt, frère de l’ex-grand pensionnaire de Hollande.
La nuit était merveilleuse — une de ces nuits comme notre jeunesse seule en connut, cher lecteur. Un firmament si étoilé, si calme, qu’en le regardant on se demandait involontairement : Peut-il vraiment exister des méchants sous un si beau ciel ? — et cette pensée est encore une pensée de jeunesse, cher lecteur, de la plus naïve jeunesse. Mais puissiez-vous avoir le cœur bien longtemps jeune !
Il n’y avait en tête des premières éditions de cet ouvrage, publié d’abord sans nom d’auteur, que les quelques lignes qu’on va lire : « Il y a deux manières de se rendre compte de l’existence de ce livre. Ou il y a eu, en effet, une liasse de papiers jaunes et inégaux sur lesquels on a trouvé, enregistrées une à une, les dernières pensées d’un misérable ; ou il s’est rencontré un homme, un rêveur occupé à observer la nature au profit de l’art, un philosophe, un poète, que sais-je ? dont cette idée a été la fantaisie, qui l’a prise ou plutôt s’est laissé prendre par elle, et n’a pu s’en débarrasser qu’en la jetant dans un livre.
L’an dernier (1861), par une belle matinée de mai, un passant, celui qui raconte cette histoire, arrivait de Nivelles et se dirigeait vers La Hulpe. Il allait à pied. Il suivait, entre deux rangées d’arbres, une large chaussée pavée ondulant sur des collines qui viennent l’une après l’autre, soulèvent la route et la laissent retomber, et font là comme des vagues énormes.
Quand j’étais plus jeune, ce qui veut dire plus vulnérable, mon père me donna un conseil que je ne cesse de retourner dans mon esprit :
— Quand tu auras envie de critiquer quelqu’un, songe que tout le monde n’a pas joui des mêmes avantages que toi.
Que je suis aise d’être parti ! Ah ! mon ami, qu’est-ce que le cœur de l’homme ? Te quitter, toi que j’aime, toi dont j’étais inséparable ; te quitter et être content ! Mais je sais que tu me le pardonnes.
Je veux chercher si dans l’ordre civil il peut y avoir quelque règle d’administration légitime et sûre, en prenant les hommes tels qu’ils sont, et les lois telles qu’elles peuvent être : je tâcherai d’allier toujours, dans cette recherche ce que le droit permet avec ce que l’intérêt prescrit, afin que la justice et l’utilité ne se trouvent point divisées.
Le fait sur lequel est fondé ce récit imagi- naire a été considéré par le Dr Darwin et par quelques auteurs physiologistes alle- mands comme n’appartenant nullement au domaine de l’impossible. Je ne voudrais pas que l’on me suspecte le moins du monde d’accorder à une telle hypothèse une ad- hésion sans restrictions ; néanmoins en échafaudant ma narration sur ce point de départ, je considère ne pas avoir créé un enchaînement de faits terrifiants relevant foncièrement du surnaturel.
« Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s’ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j’ai assis la Beauté sur mes genoux. — Et je l’ai trouvée amère. — Et je l’ai injuriée.
Le lendemain, au déjeuner, on servit d’excellents pâtés, des écrevisses et des côtelettes de mouton, et, tandis que l’on mangeait, le cuisinier vint s’informer de ce que l’on désirait pour le dîner. C’était un homme de taille moyenne, à la figure bouffie, rosée, avec de petits yeux, et il sem- blait que ses moustaches fussent épilées et non rasées.
SCÈNE PREMIÈRE
Agrippine, Albine
ALBINE
Quoi ? tandis que Néron s’abandonne au sommeil,
Faut-il que vous veniez attendre son réveil ?
Qu’errant dans le palais sans suite et sans escorte,
La mère de César veille seule à sa porte ? Madame, retournez dans votre appartement.
L'appel de la forêt, Jack London
Le neveu de Rameau, Denis Diderot
Lettre d'une inconnue, Stefan Zweig
La cafetière, Théophile Gautier
Les misérables Vol. V et VI, Victor Hugo
Les aventures de Sherlock Holmes, Arthur Conan Doyle
Le prince et le pauvre, Mark Twain
Cantique de Nöel, Charles Dickens
Le crime de Sylvestre Bonnard, Anatole France
Les aventures de Pinoccio, Carlo Collodi
Lettres persanes, Montesquieu
L'appel de Cthulhu, H. P. Lovecraft
Poèmes saturniens, Paul Verlaine
La mort d'Ivan Ilitch, Léon Tolstoï
Contes de Bécasse, Guy de Maupassant
Le temps de l'innocence, Edith Wharton
Les misérables Vol. VII et VIII, Victor Hugo
La princesse de Clèves, Madame de Lafayette
Contes, E. T. A. Hoffmann
Discours de la méthode, René Descartes
La Belle et la Bête, Madame de Villeneuve
Lettres de mon moulin, Alphonse Daudet
Le nègre du Narcisse, Joseph Conrad
Le tour d'écrou, Henry James
Capitaines courageux, Rudyard Kipling
Persuasion, Jane Austin
La légende du vallon endormi, Washington Irving
Le diable au corps, Raymond Radiguet
Les misérables Vol. IX et X, Victor Hugo
Essais, Michel de Montaigne
Bartleby le scribe, Herman Melville
Le fantôme de Canterville et autres contes, Oscar Wilde
Voyage à Lilliput, Jonathan Swift
L'enfer, Dante
Tartarin de Tarascon, Alphonse Daudet
L'étrage cas du Dr Jekill et de Mr Hyde, Robert Louis Stevenson
Contes de ma mère l'oye, Charles Perrault
La clairvoyance du Père Brown, G. K. Chesterton
Contes choisis, Jakob et Wilhelm Grimm
La comtesse de Cagliostro, Maurice Leblanc
Alice au pays des merveilles / Alice à travers le miroir, Lewis Carroll
Manon Lescaut, Abbé Prévost
Une maison poupée, Henrik Ibsen
Salle 6, Anton Tchekhov
Contes, H. C. Andersen
La fille du capitaine, Alexander Pouchkine
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